Venez découvrir nos 1er et 2ème de liste; Xavier Coenen et Chantal Lauwers
1 – Xavier Coenen
“Né il y a cinquante ans, j’habite Gages depuis plus de 20 ans. Infirmier de formation, j’encadre des équipes de soignants en maison de repos puis à domicile depuis 15 ans dans la région. Mon épouse et moi avons quatre enfants. Mes loisirs sont : le hockey sur gazon et le modélisme ferroviaire. Je suis en politique depuis bientôt 10 ans.
La volonté de participer à la vie de ma commune était une évidence pour moi. Ecolo représente à mes yeux le meilleur choix politique participatif et démocratique présent à tous les niveaux de pouvoir. Il allie modernité, démocratie et écologie à dimension humaine, au rythme de la vie. C’est pourquoi j’ai mené la liste Ecolo-Brugelette en 2012.
Conseiller communal depuis, j’ai fait le lien entre majorité et minorité, j’ai participé aux débats qui nous étaient proposés, j’ai fait des propositions en matière d’aménagement, d’économie énergétique, de gestion des déchets, … .
Ces six années m’ont appris la mécanique communale de l’intérieur, ses forces et ses faiblesses. Je me présente à vous pour poursuivre le travail mené par notre groupe Ecolo de Brugelette : éveiller la flamme écologique de chacun et potentialiser tous nos efforts pour que Brugelette soit une commune d’avenir, de défis, d’innovations et de projets citoyens. Nous sommes prêts à mener la commune vers « Demain ».
Nous voulons être dans une majorité qui a des projets pour les six années à venir mais aussi pour les générations à venir.”
2 – Chantal Lauwers
J’ai 68 ans et je suis retraitée du secteur bancaire depuis 2002. Après des humanités gréco-latines, j’ai poursuivi des études artistiques pour terminer dans une grande banque belge de l’époque. Maman de quatre filles, je suis aussi grand-mère !
Avec mon mari et mes enfants, nous avons, jusqu’en 2013, accueilli d’autres enfants, moins gâtés par la vie. Avec eux-tous, j’ai essayé de partager mon intérêt pour la nature, ma passion pour la musique, la littérature mais aussi les chevaux. L’équitation, que j’ai commencé à pratiquer à plus de trente ans reste encore aujourd’hui une activité quotidienne.
Née quelques années après la dernière guerre mondiale, j’ai eu la chance de grandir au sein d’une famille où l’on discutait de tout mais aussi à une époque qui a connu de de grands bouleversements tant politiques qu’environnementaux.
Mai 68 ne fut pas le moindre et pour la jeune adulte que j’étais, une prise de conscience du fossé qui existait entre le monde intellectuel et le monde ouvrier. Parallèlement, la guerre du Vietnam faisait rage. Après la guerre d’Algérie, l’indépendance du Congo et ses conséquences, nous étions nombreux à être animés par un profond sentiment d’injustice.
Mes premiers choix se feront alors, au côté des plus faibles et des sans voix. Je n’ai jamais supporté l’injustice, pas plus hier qu’aujourd’hui. De même je n’accepte pas l’irrespect. Tout peut être dit, tout doit être dit, dans le respect de chacun.
Bien qu’ayant grandi en ville, j’ai souvent, durant mon enfance, séjourné à la campagne, en bord de Meuse, auprès de mes grands-parents. J’ai pu y voir vêler les vaches, faucher les blés, qui étaient bien plus haut qu’aujourd’hui et dans lesquels on pouvait cueillir des bleuets, j’ai accompagné mon grand-père à la pêche au brochet… J’ai l’impression de parler d’un âge.
J’ai déménagé au début des années 80 pour la région d’Enghien. Nos enfants y ont grandi et y ont été scolarisés. Au fil du temps, les constructions sont devenues de plus en nombreuses. En nous promenant, nous avons découvert ce petit coin, joliment vallonné et les belles promenades que l’on peut y faire a cheval ou à pied. Nous avons aussi trouvé l’écurie et le cheval fut le premier à déménager, voici 20 ans.
Les enfants ayant pris leur envol, nous avons acheté notre maison à Cambron-Casteau, il y a 6 ans. De nombreuses discussions avec mon voisin qui avait alors près de nonante ans mais qui était d’une intelligence redoutable, m’ont fait prendre conscience des nombreux défis qu’il y avait à relever dans l’entité de Brugelette.
Ma rencontre avec Xavier Coenen, autour des chevaux a fini de me convaincre de rejoindre le parti Ecolo. Pourquoi Ecolo ? Parce qu’il y a urgence à modifier, voire changer notre modèle de consommation,notre mode de fonctionnement, l’approche de notre environnement.
Alors que la majorité des partis politiques tentent de minimiser l’impact des bouleversements climatiques sur notre quotidien, ils sont, en ce qui me concerne, une priorité avec laquelle il faut compter. Modifier notre modèle agricole et économique de manière à en réduire les répercussions négatives au maximum est essentiel si nous voulons assurer à nos enfants un avenir décent.
Ma première action politique pour Brugelette serait une réfection des voiries, à l’ancienne, et une limitation de la vitesse, à l’intérieur des agglomérations à 30km/h, priorité étant faite aux usagers faibles, piétons et cyclistes.