Nos candidats Brugelettois pour les communales de 2018 !

“Né il y a cinquante ans, j’habite Gages depuis plus de 20 ans. Infirmier de formation, j’encadre des équipes de soignants en maison de repos puis à domicile depuis 15 ans dans la région. Mon épouse et moi avons quatre enfants. Mes loisirs sont : le hockey sur gazon et le modélisme ferroviaire. Je suis en politique depuis bientôt 10 ans. La volonté de participer à la vie de ma commune était une évidence pour moi. Ecolo représente à mes yeux le meilleur choix politique participatif et démocratique présent à tous les niveaux de pouvoir. Il allie modernité, démocratie et écologie à dimension humaine, au rythme de la vie. C’est pourquoi j’ai mené la liste Ecolo-Brugelette en 2012. Conseiller communal depuis, j’ai fait le lien entre majorité et minorité, j’ai participé aux débats qui nous étaient proposés, j’ai fait des propositions en matière d’aménagement, d’économie énergétique, de gestion des déchets, … .

Ces six années m’ont appris la mécanique communale de l’intérieur, ses forces et ses faiblesses. Je me présente à vous pour poursuivre le travail mené par notre groupe Ecolo de Brugelette : éveiller la flamme écologique de chacun et potentialiser tous nos efforts pour que Brugelette soit une commune d’avenir, de défis, d’innovations et de projets citoyens. Nous sommes prêts à mener la commune vers « Demain ». Nous voulons être dans une majorité qui a des projets pour les six années à venir mais aussi pour les générations à venir.”

J’ai 68 ans et je suis retraitée du secteur bancaire depuis 2002. Après des humanités gréco-latines, j’ai poursuivi des études artistiques pour terminer dans une grande banque belge de l’époque. Maman de quatre filles, je suis aussi grand-mère !

Avec mon mari et mes enfants, nous avons, jusqu’en 2013, accueilli d’autres enfants, moins gâtés par la vie. Avec eux-tous, j’ai essayé de partager mon intérêt pour la nature, ma passion pour la musique, la littérature mais aussi les chevaux. L’équitation, que j’ai commencé à pratiquer à plus de trente ans reste encore aujourd’hui une activité quotidienne.

Née quelques années après la dernière guerre mondiale, j’ai eu la chance de grandir au sein d’une famille où l’on discutait de tout mais aussi à une époque qui a connu de de grands bouleversements tant politiques qu’environnementaux. Mai 68 ne fut pas le moindre et pour la jeune adulte que j’étais, une prise de conscience du fossé qui existait entre le monde intellectuel et le monde ouvrier. Parallèlement, la guerre du Vietnam faisait rage. Après la guerre d’Algérie, l’indépendance du Congo et ses conséquences, nous étions nombreux à être animés par un profond sentiment d’injustice.

Mes premiers choix se feront alors, au côté des plus faibles et des sans voix. Je n’ai jamais supporté l’injustice, pas plus hier qu’aujourd’hui. De même je n’accepte pas l’irrespect. Tout peut être dit, tout doit être dit, dans le respect de chacun.

Bien qu’ayant grandi en ville, j’ai souvent, durant mon enfance, séjourné à la campagne, en bord de Meuse, auprès de mes grands-parents. J’ai pu y voir vêler les vaches, faucher les blés, qui étaient bien plus haut qu’aujourd’hui et dans lesquels on pouvait cueillir des bleuets, j’ai accompagné mon grand-père à la pêche au brochet… J’ai l’impression de parler d’un âge.

J’ai déménagé au début des années 80 pour la région d’Enghien. Nos enfants y ont grandi et y ont été scolarisés. Au fil du temps, les constructions sont devenues de plus en nombreuses. En nous promenant, nous avons découvert ce petit coin, joliment vallonné et les belles promenades que l’on peut y faire a cheval ou à pied. Nous avons aussi trouvé l’écurie et le cheval fut le premier à déménager, voici 20 ans.

Les enfants ayant pris leur envol, nous avons acheté notre maison à Cambron-Casteau, il y a 6 ans. De nombreuses discussions avec mon voisin qui avait alors près de nonante ans mais qui était d’une intelligence redoutable, m’ont fait prendre conscience des nombreux défis qu’il y avait à relever dans l’entité de Brugelette.

Ma rencontre avec Xavier Coenen, autour des chevaux a fini de me convaincre de rejoindre le parti Ecolo. Pourquoi Ecolo ? Parce qu’il y a urgence à modifier, voire changer notre modèle de consommation,notre mode de fonctionnement, l’approche de notre environnement.

Alors que la majorité des partis politiques tentent de minimiser l’impact des bouleversements climatiques sur notre quotidien, ils sont, en ce qui me concerne, une priorité avec laquelle il faut compter. Modifier notre modèle agricole et économique de manière à en réduire les répercussions négatives au maximum est essentiel si nous voulons assurer à nos enfants un avenir décent.

Ma première action politique pour Brugelette serait une réfection des voiries, à l’ancienne, et une limitation de la vitesse, à l’intérieur des agglomérations à 30km/h, priorité étant faite aux usagers faibles, piétons et cyclistes.

a venir

Je m’appelle Martine Jaumin et je suis née en 1956 au début du mois d’août. Je suis animatrice pour des enfants de 6 à 12 ans, dans un cadre extra-scolaire, depuis 36 ans à ce jour. J’habite à Cambron-Casteau depuis septembre 1994 et Brugelette est donc ma commune d’adoption. J’aime mon métier et je tâche, dans ce cadre, de sensibiliser les enfants à la nature et à leur environnement proche ou lointain, à la citoyenneté et à d’autres choses enrichissantes pour leur développement.

J’aime la lecture et les arts ainsi que les films policiers et de science-fiction, pour le délassement pur, mais les films “plus sérieux” ont aussi ma cote. Je suis très respectueuse des animaux et amoureuse des chats en particulier. J’aimerais que notre monde soit régi par le respect de l’autre et de la justice.

Je me suis mise à voter écolo dès l’apparition du parti car il avait une vision plus progressiste que les autres partis et que j’étais sensible  à tout ce qui concerne l’environnement.

Je pense que la politique, c’est-à-dire un pouvoir décisionnel, doit être au service du citoyen et de son bien-être présent et à venir, lequel passe aussi par un développement durable déjà trop bafoué et pour lequel il faut agir.

J’ai décidé de m’inscrire sur les listes d’Ecolo après avoir été sollicitée, il y a quelques années, et ce parti correspondait assez à mes idées. Sans avoir de connaissance en politique, je tâche d’apporter ma contribution autant que possible car le parti ECOLO s’attache à des thèmes écologiques, chose que les autres partis n’aborde pas. J’aimerai de cette façon offrir une vision plus réaliste et consciente de l’avenir !

Je m’appelle Nicolas De Bruyn, j’ai 29 suis et célibataire. J’aime la natation, le jeu de rôle et les promenades dans la nature. Je n’aime pas quand la politique tel qu’elle est menée à l’heure actuelle, et qui consiste souvent à monter les gens les uns contre les autres. J’habite la commune depuis 3 ans.

Je suis entré chez ECOLO car  j’aime leurs valeurs et leur vision de la politique et de la société. C’est-à-dire moins verticale et plus à l’écoute des gens, le tout en ayant des priorité que je trouve bien définie.

Je m’intéresse à la politique depuis longtemps, et j’ai tendance à trouver celle-ci médiocre, enfermé dans des schémas passéiste, sans idée nouvelles et sans priorité claire sur ce qui est importants ou annexes. Bref mon rapport à la politique est pour le moins conflictuel de prime abord, mais je reste malgré tout persuadé que la politique est peut être un des vecteur les plus efficaces et les plus justes de changement, si cette dernière réussi à comprendre dans sa mise en place l’ensemble des citoyens.

Les thèmes qui m’affectent le plus sont la protection de l’eau et la lutte contre la pollution. Ce sont des sujets qui m’ont toujours tenu à cœur et je sais que dans de nombreuses communes rurales, ces deux derniers aspects sont souvent négligé car ces dernières sont perçu comme naturelle. Je voudrais conscientiser les gens à ce type de problème au niveau local.

Je souhaite un avenir plus vert pour la commune, et que celle-ci soit mieux gérée ainsi que moins dépendante des sources de revenus extérieur.

J’aimerais mettre en place une plateforme (internet) propre aux habitants de la commune et subventionné par celle-ci pour encourager le covoiturage entre habitant de la commune. Ceci aura un double effet, resserrez les liens entre habitants et permettre une meilleure mobilité des personnes ne disposant pas d’un véhicule.

Je m’appelle Frédérique Bontridder. Maman de quatre enfants âgée de 47 ans, infirmière sociale de formation, je suis directrice d’une crèche communale.

Il y a une vingtaine d’années, mon mari et moi cherchions un nid à la campagne pour voir grandir nos enfants.

Ce cadre calme et proche de la nature, nous l’avons trouvé à Gages. Aimant randonner, j’ai sensibilisé mes enfants au respect de l’environnement et au rythme de la nature.

Au fil des années, des balades et des rencontres, L’entité de Brugelette s’est révélée à nous pleine de richesses, d’initiatives et de dynamismes. C’est pourquoi de simples navetteurs au départ, nous sommes devenus des citoyens engagés au sein de l’entité dans le but de préserver ce qui nous avait séduit vingt ans plus tôt. J’ai choisi de soutenir Ecolo et de m’impliquer pour que mes valeurs ne soient pas transmises qu’à mes enfants mais au plus grand nombre.

La préservation de la ruralité doit se faire impérativement dans une réflexion globale et progressive. Utilisons le progrès pour améliorer et maintenir la qualité de vie de tous au sein de notre belle entité. Dans cette réflexion globale je pense notamment à la mobilité, la salubrité et l’attractivité de Brugelette.

Si les citoyens m’élisent, je souhaite commencer par trouver un équilibre entre le besoin de quiétude des Brugelettois et le développement du parc Pairi Daiza.

« Si nous prenons la nature pour guide, nous ne nous égarerons jamais » – Cicéron

Je suis Kevin Thys, 32 ans, heureux papa de 2 garçons de 6 et 3 ans. Je suis éducateur spécialisé et aide des adultes en situation de handicap. Je consacre mon temps libre à ma famille, j aime m occuper de mon jardin et suis devenu, avec le temps, un adepte de la permaculture. J ai un hobby un peu particulier, puisque je participe à des jeux de rôles grandeur nature ( GN) et suis vice-président de l asbl “Dante et Rêves” qui organise ce genre d événements et qui a déjà prêté main forte à la Mj de Brugelette dans le cadre des activités de halloween par exemple.

Je vis depuis ma naissance à Brugelette et ai vu la commune évoluer et , à regrets, pas toujours de façon positive. J ai à présent l’envie et le besoin de m’investir de façon plus active pour ma commune. Pour mes enfants d abord, pour leur offrir un lieu de vie le plus épanouissant possible

Dans un monde enclin à toujours plus de profits, plus vite, Ecolo semble me donner la possibilité de prendre du recul sur la société d aujourd’hui, de revenir à des choses simples et dans le même temps d évoluer vers une transition écologique indispensable et ce à l échelle de ma commune. Je trouve que c est une merveilleuse façon de se rendre actif.

Je me suis toujours intéressé à la politique mais en m’efforçant de garder un esprit critique. Je pense que c est le rapport que tout le monde devrait avoir.

Mes sujets de prédilection sont la mobilité, la défense de l environnement et de notre biodiversité. Et dans cette optique, je vise pour Brugelete l’arrêt de l urbanisation à tout va, une approche réfléchie de l aménagement de notre territoire.

Mon premier souhait pour notre commune serait la création d un potager collectif  et d une grainothèque communale.

“Etre vaut mieux qu’avoir”

Citoyenne Brugelettoise depuis maintenant 12 ans, je suis l’heureuse maman de 3 garçons et la jolie maman d’une jeune adulte. Psychopédagogue et agrégée en sciences psychologiques, je travaille dans un CJNS (Centre de Jour Non Scolarisable) accueillant des enfants et des adolescents polyhandicapés. Je me suis également récemment lancée dans une activité complémentaire où je m’épanouis à travers la réalisation de créations artisanales diverses. Dynamique, positive et touche à tout, je fais partie, en tant que secrétaire, de l’association de parents de l’école du village fréquentée par mes enfants ainsi que du comité des fêtes de leur club de basket. J’ai eu la grande chance, via la confiance accordée par des concitoyens et celle des membres de ma locale Écolo de devenir Conseillère de l’Action Sociale à la suite des dernières élections. Poste que j’occupe donc depuis 6 ans avec responsabilité et grande motivation, dans un très bon esprit d’entente et d’écoute avec l’ensemble des conseillers présents autour de la table. C’est pour moi une expérience très enrichissante me permettant de découvrir une partie souvent méconnue du fonctionnement d’une instance communale.

Brugelette représente beaucoup à mes yeux. C’est le village que mon époux et moi avons choisi pour y voir grandir nos enfants. Native d’un petit village du Tournaisis, il me tenait personnellement à cœur de pouvoir installer mon foyer dans une commune rurale et verte, permettant facilement de rejoindre la capitale, où je travaille, via les transports en commun. Ce fût donc un véritable coup de cœur. Et c’est un choix que nous avons posé une deuxième fois puisque nous avons déménagé il y a plus d’un an tout en voulant rester dans l’entité.

Il y a 6 ans, après de nombreux appels du pied de membres de la locale Écolo, mais surtout après de longs mois de réflexions, j’ai accepté d’intégrer à la fois la locale et la liste à 1 mois du scrutin. Je considère en effet que prendre la décision de rejoindre une liste et par là-même, dans mon cas, un parti politique, ne se prend pas à la légère. S’afficher sous une couleur et sur une liste et ainsi avoir la « prétention » que l’on va parvenir à faire changer les choses, à faire mieux, … c’est un sacré pari personnel. Mais c’est finalement la conviction que dans la vie il ne faut pas que se plaindre et critiquer ce qui ne fonctionne pas de notre point de vue, il faut vouloir faire changer les choses. Le changement peut avoir beaucoup d’effets positifs et c’est cela qui m’a finalement poussé à y croire et à m’engager avec Écolo qui rassemblait à mes yeux le programme le plus complet sur lequel il était encore loisible de travailler pour tendre vers ce changement.

J’avoue sans peine qu’il y a moins de 6 ans et demi, la politique et moi c’était plus que 2 ! Jamais je n’aurais imaginé un jour m’y engager. J’ai toujours honoré mon obligation de vote. Ayant 2 grands-pères qui ont été prisonniers de guerre afin de défendre nos droits, j’ai toujours eu à cœur de respecter le devoir démocratique en me rendant aux urnes. Mais je ne m’étais jamais vraiment intéressée à un programme. Je votais « familialement » dirais-je.

Voir grandir mes enfants dans une commune rurale où j’ai posé le choix réfléchi de construire mon cocoon familial m’a amené à m’intéresser à sa vie politique. J’ai donc découvert les programmes des différentes listes, une première pour moi, et j’ai finalement pris la décision de faire mon entrée dans ce monde finalement peu connu de ses concitoyens.

Mon aventure politique a donc débuté en 2012 lors du dernier scrutin après lequel j’ai eu la chance d’occuper, ces 6 années durant, un mandat de conseillère de l’Action Sociale. Depuis je continue à m’y intéresser de manière plus large. J’ai d’ailleurs eu l’occasion de rejoindre la liste Écolo pour les régionales aux dernières élections. Mais j’ai décidé que je ne réitérerai plus l’expérience car c’est vraiment au niveau local que je souhaite m’investir totalement.

Les thèmes que je souhaite défendre au sein de la commune sont divers et variés. De par mon métier, j’ai évidemment une plus grande sensibilité envers le côté social de la vie communale à travers tous les âges de la vie. On peut tous passer par des périodes difficiles tant financièrement, familialement pour bien des raisons, professionnellement, … et savoir que des services, des aides et avant tout une écoute sont disponibles auprès des instances communales est rassurant. Pas dans l’idée de « faire à la place de », mais de « faire avec » ou tout le moins de renseigner et de conseiller. Je suis aussi personnellement en pleine réflexion par rapport à la nécessité de tendre vers le « presque zéro déchet » qui passe à travers le tri, la gestion des énergie, la manière de faire ses courses, … et j’ai envie d’amener la commune à devenir un exemple en la matière.

Mon souhait pour la commune est d’amener ses citoyens à y prendre une part active. Une part réelle où chacun prend ses responsabilités pour aller ensemble vers un mieux être. Où chacun prend le temps de rencontrer ses voisins, réellement et pas via les réseaux sociaux. S’y rendre pour râler sur ce qui paraît être une incivilité est une chose… mais prendre le pli de palier à cette incivilité et ainsi inviter les autres à faire de même rendrait le quotidien tellement plus agréable.Et qu’on ne me dise pas que l’on n’est pas au pays des bisounours!!! A Attre,Brugelette, Cambron-Casteau, Gages et Mévergnies, il est bien des richesses humaines et s’encourager à voir le verre à moitié plein plutôt qu’à moitié vide ne peut qu’être bénéfique. Nous avons tous entre les mains la responsabilité de ce que la commune deviendra « Demain »! Cela passera notamment, le 14 octobre, par le choix que l’on marquera chacun en son âme et conscience.

Forte de la confiance des électeurs, ma première action serait de rencontrer les acteurs de l’administration communale. Je les connais pour la plupart mais je prendrais le temps de comprendre les tâches de chacun car j’estime que ce sont les forces vives du fonctionnement de notre commune. C’est avec eux qu’il faudra que le groupe des élus se mette au travail. Ce sont eux qui nous guideront aussi pour beaucoup dans nos premières réalisations. Il est donc évident pour moi de leur accorder cette première action.

La devise qui me représente le mieux ?

« Ose et si ça ne fonctionne pas, essaye autre chose ! » (librement inspirée d’un petit bonhomme extra-ordinaire et de sa maman)

Je m’appelle Astrid Coenen, j’ai 20 ans et je suis étudiante en troisième année de sciences pharmaceutiques. Je vis à Brugelette (Gages) depuis ma naissance. J’ai été enfant puis adolescente au sein de cette commune.

Elle représente donc mon « chez moi ». Je suis sensible aux idées d’Ecolo par mes parents. Ce sont, pour moi, des valeurs familiales. C’est pourquoi, j’ai eu l’envie de prendre une part plus active dans le projet de mon père, d’abord, et de m’impliquer pour que tout ceux-ci voient le jour. Me mettre sur la liste à leurs côtés est une première étape.

Etant nouvelle dans le monde des adultes, je suis depuis peu impliquée dans l’aspect politique des choses. Il est vrai j’ai peu d’expérience. Néanmoins, je pense important de prendre une part active dans la réalisation d’un avenir meilleur au sein de Brugelette pour tous. Ayant grandi ici, je me suis retrouvée confronter à des problèmes de mobilité, de divertissements, d’incivilité qui peuvent apporter un nouveau regard pour améliorer le quotidien de tous.

Tout d’abord, un des sujets qui me tient à cœur est la mobilité. Comme dit précédemment, j’ai été enfant à Brugelette et rouler à vélo sans piste cyclable inquiétait mes parents. Par la suite, j’ai été ado avec une envie de liberté et d’indépendance. A Gages, il n’y a pas de bus et rentrer le soir à vélo sur la route de Silly dérangeait (à juste titre) toujours mes parents. En dehors des jeunes et des usagers faibles, je pense que le sujet de mobilité est réellement à réfléchir pour sécuriser et faciliter les déplacements de chacun. Ensuite, un autre sujet qui me tient à cœur est la propreté.

Je suis sensible à la nature et à l’écologie surtout depuis le début de mes études car la terre a beaucoup de choses à nous apprendre et à nous apporter. C’est pourquoi, je suis écœuré de voir l’état de certains bords de route malgré le fait que des initiatives ont vu le jour pour y remédier (Be WAP par exemple). Comme je l’ai été, je souhaite sensibiliser les gens à cela pour améliorer de cette manière ou d’autre la beauté et l’envie de vivre à Brugelette. Pour finir, ayant toujours fait du sport, je veux valoriser celui-ci. Ces dernières années, différents sports et projets sont arrivés à Brugelette. Il me semble important de les soutenir et de faciliter leurs épanouissements. Le sport permet d’apprendre des valeurs, de se dépenser, de s’améliorer, de créer des relations… et tout ça en s’amusant. Et que demander de plus si cela se passe près de chez soi ? Le parc de Brugelette semble l’endroit idéal mais il est nécessaire de le « rajeunir ».

En résumé, le Brugelette de « Demain » sera, je le souhaite, dynamique et une commune où grands et petits veulent s’épanouir.

Je terminerai par la phrase d’Antoine de Saint-Exupéry, « Nous n’héritons pas la Terre de nos ancêtres, nous l’empruntons à nos enfants ». Alors améliorons notre commune pour nous et pour les plus jeunes pour aujourd’hui et pour demain.

Je m appelle Aurore Vanderstraeten, 32 ans. Je suis enseignante et l heureuse maman de 2 petits garçons de 6 et 3 ans. On me décrit comme étant une touche à tout : Je m essaie à la permaculture, à la couture, à la pâtisserie, à la fabrication de produits ménagers et cosmétiques  dans une optique zéro déchet et plus saine…

Je vis officiellement à Brugelette depuis 2014. Originaire de Thuin, j ai découvert Brugelette à l’ adolescence. J ai commencé par animer les enfants de l imp Sainte Gertrude en plaines et camps. J y ai rencontré mon mari. Je suis à présent bien installée dans la commune. Mon entourage, ma famille et mes amis sont à Brugelette. Mes enfants fréquentent l une des écoles de l entité. On peut dire à présent que je suis profondément Brugelettoise.

Notre planète vit des instants critiques. On parle de 6 ème extinction de masse! L Homme en est le principal responsable. Comme beaucoup, je fais mon possible pour diminuer mon emprunte écologique, en consommant autrement , de manière raisonnée, en respectant la nature qui nous entoure. Tout ça du mieux possible. Je veux transmettre ces valeurs à mes enfants. Ma profession me permet de sensibiliser les jeunes à ces questions. Mais cela ne va pas assez vite. Je souhaite que ma commune suive le mouvement en prenant concrètement ses responsabilités face à ces enjeux.

“Être engagés ensemble”, c est notre leitmotiv pour cette campagne. Je souhaite porter les valeurs d ecolo brugelette, défendre les idées de notre programme que je juge très importantes pour l avenir de tous à Brugelette.

C est motivant de savoir que d autres personnes partagent vos opinions avec la même ardeur. Cela m a convaincu qu ecolo pouvait construire Brugelette de “Demain ”.

Ce qui me tient le plus à cœur est de défendre notre biodiversité, la préserver au maximum, face à un milieu en urbanisation constante. Je souhaite que Brugelette fasse acte de résistance par rapport à ce que la société de consommation nous impose. Pour rendre tout cela possible , il est primordiale de sensibiliser les gens à ces problèmes inhérents á notre société actuelle. Aider les agriculteurs et les commerces de proximité à cultiver bio et à vendre local et équitable. Il faut se donner les moyens de ses ambitions. Dénoncer, sensibiliser et concrétiser notre transition écologique pour un mieux vivre.

Je souhaite que Brugelette devienne une commune durable. Bien au fait des enjeux écologiques, une commune où il fait bon vivre ensemble, forte de ses initiatives individuelles avec un soutien communal réelle.  Qu elle donne à chacun la possibilité d apporter sa pierre à l’édifice en faisant preuve de bienveillance et de bon sens. Multiplier les rencontres avec des intervenants extérieurs, spécialistes du zéro déchêt, conseillers en énergie,… mettre à disposition gratuitement les salles communales pour toutes les initiatives qui vont dans le sens de cette transition écologique mais aussi pour les associations œuvrant pour  la collectivité,… ce serait un bon début.

Si j’étais élue, je proposerais des ateliers écologiques , ce serait des lieux de rencontres, de sensibilisation  et d échanges de savoirs. Je mettrais en ligne des plates-formes d échanges de services pour permettre aux brugelettois de co-voiturer, de se prêter du petit matériel de bricolage, de cuisine, de jardinage, d acheter de façon groupée, etc. Mettre les gens en relation, faire émerger notre intelligence collective.

a venir